En 1913 le Dr Bach, fraîchement diplômé en médecine et en chirurgie, travaille aux urgences du Centre Hospitalier Universitaire de Birmingham. Là, il constate que dans les soins apportés aux malades, la personnalité de l'être humain n'est pas prise en compte. Pour combler ce qu'il considère comme une énorme lacune, il prend un poste dans les domaines de l'immunologie et de la bactériologie à l'Hôpital Homéopathique de Londres où il découvre l'œuvre de Hahnemann, fondateur de l'homéopathie.
L'approche de Hahnemann, qui décrète que la base de toute guérison réside dans le traitement du malade en prenant en compte le tempérament du patient et pas uniquement la maladie, rejoint les convictions de Bach. Entre 1922 et 1928 Bach travaille sur la fabrication de vaccins - élaborés à partir de germes intestinaux par la méthode homéopathique - qui seront reconnus dans le monde médical (Les sept nosodes de Bach). Mais il n'est pas satisfait de ce type de remède et dès 1928 il oriente ses recherches vers les plantes. Ses travaux des 8 années suivantes aboutiront aux essences florales composant les 39 remèdes connus aujourd'hui.
En 1936 le Dr Bach estime son système complet et son œuvre achevée. Il donne des conférences à travers l'Angleterre pour transmettre ses connaissances le plus largement possible.
Il décède le 27 novembre 1936 dans son sommeil d'une déficience cardiaque.
La Science tend à prouver que la vie est harmonie - un état d'accord - et que la maladie est dysharmonie, ou un état dans lequel une partie du tout ne vibre pas à l'unisson.
Si nous éliminons la désunion, la peur, la terreur ou l'indécision, nous recréons l'harmonie entre l'âme et l'esprit, et le corps est de nouveau parfait sous tous les angles.
Ne laissez pas la simplicité de cette méthode vous dissuader de l'employer, car vous vous apercevrez que plus vos recherches progresseront, plus vous comprendrez la simplicité de toute la Création.
La maladie n'est ni cruauté, ni punition; elle est en tout et pour tout un correctif dont se sert notre âme pour nous indiquer nos défauts, pour nous éviter des erreurs plus importantes, pour nous empêcher de provoquer plus de dégâts - et pour nous ramener sur le chemin de la vérité de la lumière que nous n'aurions jamais dû quitter.
Certaines fleurs, buissons ou arbres sauvages d'ordre supérieur, en raison de leurs vibrations élevées, ont la puissance d'élever nos propres fréquences vibratoires et d'ouvrir dans l'être humain les canaux qui acheminent les messages de notre Moi spirituel. Ils submergent notre personnalité des vertus dont nous avons besoin et chassent ainsi les défauts qui causent nos souffrances.